Au cocon chaud et douillet
Que l'hiver apportait
A nos corps enlacés
Dans une ombre malicieuse
Succède l'impudeur du printemps,
Ses lumières douces et caressantes
Qui enivrent la nudité de nos amours.
Au cocon chaud et douillet
Que l'hiver apportait
A nos corps enlacés
Dans une ombre malicieuse
Succède l'impudeur du printemps,
Ses lumières douces et caressantes
Qui enivrent la nudité de nos amours.